top of page


Ma nounou
sur Carpentras



-
Quelles sont les étapes de l'embauche d'une assistante maternelle ?Les étapes et démarches pour l'emploi d'une assistante maternelle sont les suivantes: Le rendez-vous de découverte La lettre d'engagement réciproque La rédaction du contrat et la signature du contrat L'adaptation avant l'accueil L'accueil
-
Qui peut m'aider dans ma recherche et l'embauche d'une assistante maternelle ?Vous pouvez vous rapprocher du Relai de Assitantes Maternelles (RAM). Site du RAM
-
A quelle aide financière puis-je prétendre pour la garde de mon enfant ?En fonction de votre situation familiale et financière vous pouvez prétendre à une aide de la part de la CAF ou de la MSA et à une réduction sur l'impot sur le revenu.. Pour consultez les aides auquelles vous pouvez prétendre consultez sur les pages suivantes: Site de la CAF Site de la MSA Site des impôts
-
Où puis-je trouver la convention collective des assistantes maternelles ?Ici
-
Où puis-je trouver un modèle de certificat de travail ?Ici
-
Où puis-je trouver un modèle d'engagement réciproque ?Ici
-
Où puis-je trouver un modèle de solde de tout compte ?Je soussigné [nom et prénom du salarié] , demeurant à [adresse du salarié] , reconnais avoir reçu pour solde de tout compte de la Société [nom de la société] la somme de [montant perçu] , incluant les éléments suivants : [détail précis des sommes versées au salarié] Ce reçu pour solde de tout compte peut être dénoncé, par lettre recommandée, dans les 6 mois à compter de la date de signature. Au-delà de ce délai, je ne peux plus dénoncer les sommes qui y sont mentionnées. Ce reçu pour solde de tout compte est établi en double exemplaire, dont un m'a été remis. Fait à [lieu] , le [date] [Signature du salarié]
-
Le développement de l’enfant de 0 à 18 ansMaria Montessori a distingué quatre périodes de croissance chez les êtres humains : la petite enfance (de 0 à 6 ans) : l’âge de la conscience du moi, l’enfance (de 6 à 12 ans) : l’âge moral, l’adolescence (de 12 à 18 ans) : l’âge social, la maturité (de 18 à 24 ans) : l’âge politique. Le développement de l’être humain n’est pas linéaire, il ressemble plutôt à un cycle de transformations, des sortes de métamorphoses, de nouvelles naissances, autant physiques que psychiques. Ces périodes de croissance se suivent sachant que chacune est préparée par la précédente. La petite enfance et l’adolescence sont considérées comme les deux plus importantes en termes de transformations physiques et psychologiques : l’enfant y multiplie les conquêtes. Le bébé est l’acteur de son propre développement et l’esprit absorbant en est l’outil. L’esprit absorbant est la principale caractéristique du jeune enfant celle d’absorber tout ce qui l’entoure. Cet état mental lui permet d’assimiler ses expériences et de se construire en les intégrant. Grâce à l’esprit absorbant, l’enfant intègre profondément les notions qui le mèneront à l’abstraction. Il devient progressivement conscient à partir de 3 ans. L’enfant construit donc sa personnalité en fonction de ce que lui offre (ou lui refuse) son environnement. La petite enfance est caractérisée par : le besoin de protection et de repères, les périodes sensibles, l’esprit absorbant (inconscient de 0 à 3 ans et conscient de 3 à 6 ans), construction des mouvements coordonnés jusqu’à 3 ans et le raffinement de la motricité fine (de 3 à 6 ans), le développement du langage, la découverte de son environnement, le cheminement vers l’indépendance, l’exercice plus en plus développé de la volonté et de l’autonomie, la prise de conscience de son individualité, l’exploration sensorielle et l’observation passionnée (qu’est-ce que c’est ? comment on fait ?), le passage de “aide moi à être moi-même” de 0 à 3 ans à “aide moi à faire moi-même” de 3 à 6 ans.
-
Le sommeil et ses bienfaitsBien dormir a des conséquences importantes sur la santé au quotidien. En effet, le sommeil est indispensable au développement cérébral de l'enfant ; il régule la production de plusieurs hormones : hormone de croissance, mais aussi cortisol, insuline, hormones de l’appétit. Le sommeil: améliore la concentration, consolide les informations mémorisées pendant l’éveil et favorise l’apprentissage récent. Une personne qui s’endort sur une tâche tout juste apprise, améliore sa mémorisation de 30 % ; diminue le risque d'hypertension artérielle, de diabète de type 2 à l'âge adulte ; est associé à une meilleure réponse immunitaire avec des conséquences probables sur la susceptibilité aux infections. Les cycles du sommeil Comme le sommeil de l’adulte, celui de l’enfant est organisé en cycles. Il commence par une phase d’endormissement puis des cycles de sommeil se succèdent. Chaque cycle comporte deux types de phases : Les phases calmes : le sommeil "lent" Elles correspondent à un sommeil dit "lent", plus ou moins profond, durant lequel l’activité cérébrale diminue. Les phases d’activité cérébrale intense : le sommeil "paradoxal" Il s’agit de périodes durant lesquelles le cerveau est aussi actif que pendant la journée ; c’est pourquoi on parle de sommeil "paradoxal". Durant ces phases, les personnes endormies rêvent et on observe chez elles des mouvements oculaires rapides. Une nuit comprend 4 à 6 cycles de sommeil, et chaque cycle est composé de phases lentes et paradoxales. La durée de ces cycles et la nature des phases varient selon l’âge de l’enfant. Cliquez sur la photo pour afficher le tableau des rythmes du sommeil chez l'enfant.
-
La diversification alimentaireÀ quel âge démarrer la diversification ? Sur les conseils d’un médecin, jamais avant 4 mois et à 6 mois au plus tard. La diversification pour lui apprendre à faire aimer les fruits et légumes se déroule globalement en deux grandes périodes : Le début de la diversification : on commence progressivement à diversifier l’alimentation de son enfant, c’est-à-dire à lui donner d’autres aliments que son lait. Recommandé à partir de 6 mois : ajouter une cuillère à café de matières grasses dans les petits plats de bébé, de préférence de l’huile végétale. La phase 8-12 mois : on poursuit la diversification avec des textures de moins en moins moulinées. Votre enfant est-il prêt à la diversification ? Certains indices peuvent vous aider : il se tient assis avec un appui, sur les genoux d’un adulte, il s’intéresse aux aliments qui l’entourent, il est capable de saisir avec ses mains un objet tendu. Nous vous conseillons d’aborder le sujet avec le professionnel de santé suivant votre enfant. Que signifie concrètement varier et alterner ? Il importe de varier et d’alterner les fruits et les légumes proposés : Pour apporter des vitamines et minéraux différents. Pour varier les goûts, les textures, les couleurs. Pour enrichir son répertoire alimentaire. Cliquez sur la photo pour afficher le tableau de la diversification alimentaire.
-
La motricitéQu'est-ce que la motricité fine ? La motricité globale est l'ensemble des gestes moteurs qui assurent l'aisance globale du corps, sans rechercher la performance ou le raffinement d'un geste précis. Le but n'est pas de voir si la personne fait bien le geste mais comment elle s'organise pour faire ce geste. La motricité globale concerne par exemple les coordinations dynamiques générales que sont la marche, la course et les sauts. On ne va pas voir si l'enfant saute bien, mais comment il saute, comment il s'organise pour sauter ou marcher, si sa marche est fluide, lente, rapide, adaptée ou harmonieuse. La motricité globale concerne aussi l'équilibre statique : savoir si l'enfant reste debout, sur un pied, les yeux fermés, les yeux ouverts… Elle concerne les coordinations du membre supérieur (coordination des bras lorsque l'enfant attrape un objet), les coordinations du membre inférieur (coordination des jambes et des pieds) et les coordinations du membre supérieur et inférieur (toucher son pied avec sa main, croiser ses bras…). Toutes ces épreuves se retrouvent dans le bilan psychomoteur mais pas uniquement. Il faut également observer le déplacement spontané de la personne. La motricité fine se définit comme le produit de mouvements fins, précis et minutieux, qui font appel au contrôle musculaire de différentes parties du corps. Elle concerne la motricité faciale (du visage) que l'on observe chez l'enfant en passant par le ludique : on lui demande de faire une grimace, de gonfler une joue, de fermer un œil… Elle concerne aussi la motricité manuelle, que l'on étudie en proposant des jeux de doigts, des épreuves de déliement digital, de pianotage, faire des boulettes de papier… Cela permet de voir comment l'enfant s'organise avec ses mains, quelle est sa coordination œil-main, œil-pied, celle de ses deux mains entre elles… Tout ceci constitue la motricité fine.
-
Le langageDe 12 à 18 mois Le tout-petit prononce, en général, son premier mot entre 12 et 16 mois. Les mots qu’il apprend à dire par la suite désignent habituellement les gens et les objets familiers. Ils sont aussi souvent liés aux routines, comme « dodo » ou « allo ». À cet âge, le tout-petit n’est pas encore capable de combiner des mots pour indiquer les choses qu’il voit et pour exprimer ce qu’il veut. Ainsi, un mot peut vouloir dire plusieurs choses. Par exemple, le mot « encore » est souvent utilisé dans plusieurs contextes. Le tout-petit comprend encore plus de mots qu’il n’en dit. Il apprend rapidement le sens de nouveaux mots désignant des objets ou des actions qui se trouvent ou qui ont lieu dans un contexte familier. Il saisit des consignes simples comme : « Viens ici. » À cet âge, il est fréquent que l’enfant ne dise pas de nouveaux mots chaque jour. Il faut souvent attendre qu’il utilise environ 50 mots avant que son vocabulaire ne progresse plus vite. Il est aussi normal qu’il ne prononce pas clairement les mots. Pendant cette période, l’enfant est capable de reconnaître certains objets dans un livre et de les pointer si on le lui demande (ex. : si on lui pose la question « Il est où le chat? »). De 18 à 24 mois Le tout-petit continue de développer son vocabulaire. Lorsqu’il dit plusieurs mots désignant des gens et des objets, il commence à nommer des actions (ex. : manger, boire). Certains sons restent difficiles à prononcer pour lui. Lorsque le tout-petit est capable de dire plusieurs mots, il commence à les mettre ensemble pour construire des phrases de deux mots, comme : « Papa parti. » S’il essaie de faire des combinaisons de mots un peu plus longues, il omet souvent les petits mots (ex. : mon, il, à), car ceux-ci sont difficiles. À ce stade, il n’est pas rare qu’il montre du doigt des images dans les livres et qu’il nomme et commente un peu ce qu’il voit. De 2 à 3 ans À cet âge, l’enfant apprend à organiser les mots dans un certain ordre de manière à faire des phrases. Il utilise d’ailleurs souvent des phrases de deux ou trois mots pour s’exprimer, comme : « Papa prend balle », et pour poser des questions, comme : « Est où maman? ». Les personnes qui connaissent bien l’enfant comprennent généralement ses « phrases ». Le nombre de mots que le tout-petit comprend et dit continue à augmenter rapidement durant cette période. L’enfant prend moins de temps qu’avant à comprendre un nouveau mot et à l’intégrer dans son vocabulaire. Il commence aussi à comprendre des notions plus abstraites. Par exemple, il connaît la différence entre « haut » et « bas » ou « grand » et « petit ». Il est également capable de suivre des directives à deux étapes, comme : « Va chercher la balle et lance-la-moi. » Pendant cette période, l’enfant réussit aussi à mieux comprendre des histoires simples dans les livres. Il peut aussi répondre à de petites questions qu’on lui pose au fil de la lecture. Par exemple : « Où est la maman? », « Qui est là? » ou « Qu’est-ce qu’il fait, le papa? ». Vers 3 ans, l’enfant prononce généralement plusieurs sons correctement. Comment favoriser le développement du langage? Voici quelques conseils et activités visant à favoriser le développement des habiletés langagières de votre enfant. De 1 à 2 ans Soyez à l’écoute des signes de communication de votre enfant. Les sons, les gestes, les sourires et les pleurs sont tous des façons qu’il utilise pour vous dire quelque chose. Mettez des mots sur ce que votre enfant tente de communiquer. S’il utilise des mots, répétez ce qu’il dit et montrez-lui ou donnez-lui l’objet qu’il nomme lorsque c’est adéquat. Par exemple, s’il dit le mot lait, répondez-lui : « Oui, c’est le lait! » en lui donnant son verre. Cela lui indique que vous comprenez ce qu’il dit et que vous y accordez de l’importance. Il découvre alors que ses efforts pour communiquer donnent des résultats. Lorsque vous ne comprenez pas votre tout-petit, essayez de saisir ce qu’il veut exprimer en observant le contexte. Par exemple, s’il pointe l’extérieur en disant « dehors » alors que vous êtes dans la maison, observez s’il y a quelque chose de spécial dehors ou s’il veut simplement dire qu’il veut sortir. Aidez votre enfant à vous comprendre en articulant clairement et en ne parlant pas trop vite. Toutefois, évitez de lui parler en bébé (ex. : dire « kiki » pour « biscuit ») et de faire des phrases incomplètes (ex. : « Maman partie au magasin! »). Nommez ce que vous voyez autour de vous à la maison ou lorsque vous faites une promenade dehors (ex. : « C’est un arbre, un oiseau, un chien... »). Nommez aussi ce qu’il montre ou regarde avec intérêt. Félicitez-le lorsqu’il répète le mot en question, mais ne le forcez pas à le faire. Enrichissez le vocabulaire de votre enfant en ajoutant un élément à ce qu’il exprime. Par exemple, s’il dit le mot pomme, dites-lui : « Oui, une bonne pomme! » Ou, s’il dit « bonne pomme », répondez-lui : « Oui, tu manges une bonne pomme. » En ajoutant des mots, vous lui apprenez à les utiliser. Commentez souvent ce que dit votre enfant. Par exemple, s’il dit « gros chat », répondez : « Oui, c’est un gros chat noir. Tu aimes les chats, toi! » Cela le prépare à utiliser les mots qu’il connaît pour construire des phrases, même s’il ne sait pas encore s’y prendre tout seul. Cela lui permet aussi de se sentir écouté et intéressant. Proposez à votre enfant des livres aux illustrations simples et colorées représentant des objets, des personnages ou des événements qui l’intéressent. Nommez ce que vous voyez sur les images ou racontez l’histoire dans vos mots. Cela aide votre tout-petit à apprendre les mots. Vous gagnez à réserver des moments pour regarder des livres avec lui, mais vous pouvez en plus en laisser à sa disposition pour qu’il puisse les feuilleter quand il le souhaite. De 2 à 3 ans Montrez à votre enfant que ce qu’il dit vous intéresse et donnez-lui en même temps un modèle en répétant ce qu’il dit ou en allongeant ses phrases. Pour amorcer une discussion avec votre enfant, partez de ce qu’il est en train de faire. Ainsi, au lieu de lui parler de sa journée à la garderie, observez son jeu du moment et parlez-lui de ça (ex. : « Tu fais une grosse tour! Vas-tu ajouter encore d’autres blocs? »). Lorsque vous ne comprenez pas ce que dit votre tout-petit, tentez de le découvrir en observant le contexte et en vous concentrant sur ce qui était clair. Par exemple, s’il a dit une petite phrase et que vous avez seulement compris « chat », dites-lui : « Tu me parles d’un chat! Où l’as-tu vu? » Aidez-le à construire son vocabulaire en lui parlant, mais aussi à comprendre le rôle des choses qui l’entourent et à organiser le monde dans sa tête. Par exemple, montrez-lui une brosse à dents et dites-lui : « C’est une brosse à dents. Tu te laves les dents avec une brosse à dents. » Ne vous concentrez pas sur la prononciation de votre enfant, mais sur ce qu’il veut vous dire. Ainsi, s’il n’a pas dit correctement un mot, ne le lui mentionnez pas. Prononcez simplement le mot correctement. Par exemple, plutôt que de dire : « On dit “sssapin”, pas “tapin” », vous pouvez répondre : « Oui, tu as raison, c’est un beau sssssapin! ». Regardez ensemble des photos de famille et utilisez des phrases simples pour décrire ce qui est montré, comme : « C’était la fête de Sarah. » Cela l’aidera à mieux comprendre son univers et la place qu’il y occupe. Vous pouvez aussi mettre l’accent sur les actions des personnes sur les photos : cela l’aidera à apprendre de nouveaux verbes. Regardez souvent avec votre tout-petit des livres qui comportent des histoires proches de son quotidien (ex. : un livre sur une fête, sur le petit pot, etc.). Posez-lui des questions sur ce qui est raconté. Laissez-le commenter et vous poser des questions : c’est comme ça qu’il développera le plus son langage.
-
La propretéDe la couche au pot... L’apprentissage de la propreté est une étape importante dans le développement de votre enfant : Il acquiert de l’autonomie et il est désormais capable de « contrôler certaines parties de son corps ». Il n’y a pas d’âge précis La grande majorité des enfants deviennent propres spontanément entre 18 mois et 3 ans (un peu plus tôt pour les filles que pour les garçons), mais chaque enfant à son propre « calendrier », sa propre maturité physiologique et psychologique. Alors même si nous avons tous secrètement hâte de ne plus avoir à changer les couches du petit dernier, attention à ne pas vouloir aller trop vite ! Il ne faut pas forcer un enfant à aller sur le pot s’il n’en a pas envie. Et inutile de s’angoisser parce que la rentrée en maternelle approche : s’il n’est pas tout à fait propre le jour J, il le sera sans doute très vite en voyant ses petits camarades aller aux toilettes tout naturellement. Sachez d’ailleurs que selon bon nombre de psychanalystes, un enfant que l’on cherche à “dresser” trop tôt à être propre risque d’être perturbé plus tard : constipation, troubles du comportement (colère, angoisses, etc.), difficultés etc. La propreté ne s’acquiert pas « du jour au lendemain » L’apprentissage se fait progressivement : votre enfant commencera par devenir propre en journée tout en gardant ses couches pour la nuit ou les siestes. Il faut compter de 3 à 8 mois pour que Bébé soit propre de jour, puis il lui faudra encore environ 6 mois pour être prêt à passer la nuit sans protection. Votre enfant doit être prêt physiologiquement Un enfant ne peut être propre avant que son système nerveux soit assez mature pour contrôler ses sphincters. Pour la plupart des spécialistes, l’apprentissage peut commencer aux environs de 2 ans, et il est généralement admis que lorsque votre enfant saura monter et descendre un escalier seul c’est qu’il commence à contrôler ses sphincters et qu’il est prêt à devenir propre. et psychologiquement Il est important que l’enfant ait envie de devenir propre, plusieurs signes peuvent vous avertir qu’il est prêt à démarrer l’apprentissage : Il manifeste un intérêt pour le pot que vous avez mis à sa disposition. Il vous demande de le changer, s’apercevant que ce n’est pas agréable d’avoir une couche souillée. il commence à sentir des “envies” en utilise les mots s’y rapportant: pipi, caca, popo, ou en faisant des grimaces et des gestes nouveaux: il se dandine, serre les jambes, touche sa couche… il vous observe quand vous allez aux toilettes, il veut vous suivre. il désire « être grand et indépendant » et vous imite tout le temps. sa couche reste sèche plusieurs heures en particulier pendant les siestes voire même la nuit : c’est la preuve qu’il arrive à se retenir.
-
Est-ce que nous accueillons des stagiaires?Nous avons à cœur de transmettre notre savoir faire et d'aider les jeunes (et les moins jeune également) à découvrir notre métier et à les former pour leur avenir. Compte tenu de l'implication que nous demande la formation de stagiaires et du fait que nous avons déjà 8 enfants en accueil, nous souhaitons des personnes autonomes, sérieuses, à l'écoute, désireuses d'apprendre et motivées. Pour toute demande de stage merci de nous faire passer le document téléchargeable ci-dessous et dûment complété accompagné des documents demandés, accompagné d'une copie votre attestation de stage et de vos attendus à l'adresse suivante : dolores@manounousurcarpentras.com. A réception, nous vous contacterons pour un entretien téléphonique et pour une prise de rendez-vous. Dolorès & Yannick

bottom of page